Le lion

la peur, peur d'avoir un quelconque lien avec le gardien.un lien de sang.Ce petit garçon qu'avait ma mére qu'est il devenu ?J'AI un frére quelque part dans ce monde.Il est peut-etre pas si loin de moi .Il me connait peut-etre?Il suit mes faits et gestes.Il me hante.Il me terrorise.Non,pourquoi?Pourquoi j'ai cet intuition?Pourquoi depuis que mon oncle m'a parler de l'existence de cet enfant je l' assimile au gardien.Non,c'est la peur uniquement qui joue des tours.

je ne sais pas qui est cet homme qui me guette qui m'en veut,qui en veut au docteur.Pourquoi il est entré dans nos vies uniquement pour nous faire du mal?on ne choisit pas ses victimes au hasard.En choississant ses victimes n'importe quelle criminel doit au moins ressentir une haine aussi petite soit-elle qui le pousse à agir.Le gardien me déteste,il répugne David.D'ou vient cette haine?Mais ou est donc la racine du mal?

_On est bientot sur paris juliette!!!affirma julien qui avait pris le volant

_juliette?!!!

_OUI!!!, répondit celle-ci

_Pourquoi ce silence ?

_C'est le silence de la peur du doute.Que doit faire une jeune femme qui vient juste d'apprendre que sa mére disparue avait un fils.dit juliette avec un aire d'épuisement d'abattement

_C'est vraie que tu as une vie tumultueuse pleine de rebondissements limite passionnante

_QOI!!!s'exclama juliette avec une énergie digne d'un automate qui vient d'etre rallumé

_Passionante ma vie ,tu te moque de moi ?je suis harcelée par un psychopate qui peut -etre mon frére ,ma mére une ex criminelle.Sans moi une personne vas mourir et toi aussi tu es sur le viseur et à cause de moi en plus.Passionante ma vie.Et elle termina avec un violent coups de poing sur le tableau de bord.

On distingue petit à petit une fissure de sang au niveau de la phalange.Julien surpris par cette réaction aussi soudaine que violente , freina la voiture et se gare sur la bande d'arret d'urgence.le moteur éteint , plus un bruit seul se fait entendre la respiration rapide et haletante de juliette .Sans mots dire il s'approche de juliette,prend sa main et la porte à sa bouche.D'un baiser accompagné d'une léche sur l'écorchure , il lape la ficelle de sang qui commençait déjà à coaguler.

Juliette comme hypnotisée se laisse faire et sa respiration revient peu à peu à la normale.L'halétement disparait.Elle a le regard fixe presque pas de battement de cils.Elle savoure sans doute la douce chaleur sur sa blessure,la chaleur du baiser de julien.Toujours dans le silence,julien reléve la téte s'approche encore un peu plus de juliette ,il prend sa main fait mine de la tirer vers lui.Pas une résistance de la part de juliette,les deux visages sont maintenant à quelques milimétres de l'un de l'autre.Ils se regardent comme si ils se voyaient pour la premiére fois.Les aires de leurs expirations s'entrechoquent et leur caressent le visage.Puis, aprés ce lapse de temps,aprés ce court instant de regard,d'un geste rapide et concordé leurs visage se collent et leurs lévres se rencontrent.

Il s'embrassent avec énergie et passion.On entend plus que le clapotement de leurs lévres imbibés de salives .La valse de leurs langues forme des bosses éphéméres au niveau de leurs joues . Soudain ,julien se retire,ouvre la portiére  et sort du véhicule laissant juliette avec avec un regard comme qui disait j'en veut encore.Il contourne d'un trait la voiture et ouvre la portiére du siége passager ou se trouve juliette .Celle-ci lui fait de la place et julien se met à coté de juliette en refermant la portiére .Encore un moment de regard et un baiser .Leurs deux corps cote à cote s'entrelacent,les caresses fusent. 

un moment de plaisir dans une période trouble .Blottis l'un à coté de l'autre julien et juliette ne se quitte du regard pas toujours un mots ne sort de leurs bouches,stupéfait de la rapidité de l'enchainement des événements.

_Quest-ce qui nous a pris dit enfin juliette

_on en avait tout simplement envie répond julien

_mais on se connait que depuis quelques heures les choses vont trop vite!!!!

_enfaite,dit julien ,en caressant la joue rugueuse de sa partenaire,depuis que je t'ai vus franchir la porte de ma maison j'ai sentit en moi quelques chose d'inédit.Je te voyais pour la premiére fois mais c'étais comme si je te connaissais depuis toujours.

_quest-ce qui m'a pris dit encore juliette avec aire étonné faisant méme pas attention à ce que vient de dire julien.

_et pourtant j'étais bien consciente du début à la fin..

_on ne peut pas aller à l'encontre de ses envies les plus pressantes juliette.tu le voulais et moi aussi je le voulais tu n'as pas de reproche à te faire

_je suis entrain de devenir folle réplique juliette etn se redressant brusquement la téte entre les mains,mais qu'est ce qui m'arrive ?pourquoi moi ?

juliette s'effond en larmes  et julien aussitot la serre dans ses bras et lui dit

_calme toi shut !!! ne pleure pas en lui donnant un bisous sur le front et en la berçant comme s